ZAel, était incognito dans la ville. Elle portait une longue cape noir, la capuche rabattu sur la tête ainsi qu'un foulard cachant son visage et ne laissant apparaitre que ses grand yeux gris en amande. Elle passa prêt de la potence, un frisson la parcourrue, le souvenir encore frais de ce moment où elle failli être pendu par les habitants mener par un prêtre noir. Zael resta ainsi quelques seconde à fixer la potence puis bougea enfin. Un homme l'interpela:
- hey ! toi !
Zael se figea , elle était de dos, et si jamais elle s'était fait repéré, s'en était fini pour elle. L'homme fit encore un pas et demanda:
- sais-tu où sont les prêtre ?
ZAel baissa les yeux un instant, réfléchissant à toute vitesse, puis elle aperçus un groupe de prêtres au complet tournant au coin d'une sombre ruelle. Zael se contenta de tendre le doigt dans leur direction. L'homme lui dit:
- merci bien... mais... qui êtes vous ? je ne me souviens pas vous avoir déjà vu ici...
L'homme contourna la gitane qui baissa encore la tête. Il se baissa et vit le visage de zael. Il étouffa un hocquet de surprise et s'écria:
- je sais qui tu es !!! tu es la chef des Inyo que l'on a voulu pendre l'autre jour !!!! monstre que tu es !!!!
Zael releva la tête. L'homme commença à hurler dans la place qu'un lycan avez pénétré dans la ville. ZAel se retourna, tout le monde la fixait et commençait à courire vers elle. la lycanne se mit à courire en direction inverse cherchant déséspérement un lieu où se cacher et malheureusement le seul était l'église. Zael accélérat le pas, pensant l'église vide après avoir vu tout les prêtre noir sur la place, elle entra et referma la lourde porte derrière elle et rabattit la grande poutre pour la maintenir bloqué. La jeune femme, éssouflée se demandait combien de temps elle resterais ainsi bloquer dans l'église avant de trouver un moyen de s'en échapper alors qu'au dehors les villageois criaient leur mécontentement. Zael recula encore et encore, s'éloignant de la porte derrière laquels les gens tambourinaient. Elle voulait s'éloigner le plus possible, comme si cette porte était infesté par la pestes, mais elle heurta quelque chose, quelque chose auquel elle aurait donner n'importe quoi pour y échapper....